Découvrir le préambule de "La pluie ne change rien au désir" et me dire que je me prépare avec ce roman de Véronique Olmi à déguster ma drogue favorite.
M'aimer un peu moins mal dans le reflet du miroir.
Apprécier les quelques heures égoïstement volées pour moi, rien que moi.
Oublier un instant le contexte, le cadre, les éléments exogènes.
Et aspirer à des heures encore meilleures, bientôt...